27 janvier Alès
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La soirée, organisée par les Amis du monde diplomatique de la ville d’Alès, avait pour thème “Au Burkina Faso, de la révolution de 83 à l’insurrection populaire de 2014“.
Lors du l’introduction au débat, les photos de l’insurrection passait en boucle, ce qui illustrait bien le sujet de la soirée. Une cinquantaine de personnes étaient présentes. L’intervenant, Bruno Jaffré, en a profité pour présenter la campagne “Justice pour Sankara justice pour l’Afrique”. Plusieurs dizaines de signatures à la pétition ont ainsi pu être rassemblées.
28 janvier à Montpellier
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Plus de 150 personnes ont participé à la conférence débat sur le Burkina Faso. Une rencontre, à l’initiative du Comité Thomas Sankara Montpellier (CTSM) pour informer, communiquer sur les suites de l’insurrection populaire de fin Octobre 2015 à Ouagadougou et tenter de comprendre les enjeux de la transition démocratique en cours. Un moment très dense et très intense en questionnements mais aussi un temps d’échanges très instructif grâce aux multiples contributions et aux divers témoignages d’un public très attentif et très impliqué. Merci à nos 2 principaux intervenants (Bruno Jaffré et Irenée Domboué) pour la pertinence de leurs propos et de leurs apports éclairés.
En présence de Mariam Sankara, marraine de la soirée, une soixantaine de personnes ont signé la pétition « Justice pour Thomas Sankara, Justice pour l’Afrique » (voir voir http://thomassankara.net/?p=866) qui court toujours.
1er fevrier à Turin (Italie) – Une dimanche pour Sankara. Journée de révolutions.
Une cinquantaine de personnes ont participé à Turin le 1er février , à partir de 16h30 jusqu’à la nuit, à une dimanche de réflexion autour la figure du Président Thomas Sankara et les révolutions burkinabè du 4 août 1983 et du 30-31 octobre 2014.
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Après la projection du film « Thomas Sankara.. et ce jour-là ils ont tué la félicité » Silvestro Montanaro auteur du documentaire, depuis l’Ecuador connecté via skype, nous a donné sa témoignage. Le débat en salle bien animé s’est déroulé avec la participation d’un groupe de burkinabè et d’un témoin qui était en place le 30 octobre à Ouagadougou, jour du soulèvement populaire où, depuis 27 ans qu’il s’était accroché à tout prix au pouvoir, Blaise Compaoré a du fuir son pays chassé par son peuple.
Dans la soirée, après la projection de la vidéo « Discours contre la dette de Thomas Sankara à Addis Abeba, 1987 » un acteur de la troupe de théâtre “l’Interezza non è il mio forte” a mis en place une lecture très émouvante du « Discours aux femmes, 8 mars 1987 » de Thomas Sankara.
Plusieurs signatures à l’appel « Justice pour Sankara. Justice pour l’Afrique » ont étés recueillies, aussi bien que la vente du livre : Sostiene Sankara, ed Becco Giallo, 2014 http://www.beccogiallo.org/shop/103-sostiene-sankara.html
La page facebook de l’événement : https://www.facebook.com/events/758088227602632 organisé au Circolo arci Molo di Lilith en collaboration avec le Comité Sankara XX – Réseau international « Justice pour Sankara. Justice pour l’Afrique »; l’Association Sunugal; l’Association Ritmi Africani et Gelateria Popolare.
Des photos sont à l’adresse:
https://www.facebook.com/aliou.diop.9/media_set?set=a.10204379281536896.1073741848.1076047303&type=1&pnref=story
14 février Lille
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Le samedi 14 février les associations Béogo (voir http://www.beogo.org/) et Survie Nord (http://www.survie.org) ont organisé une journrée consacrée au Burkina Faso à la Halle aux sucres.
Un débat sur le thème “Burkina Faso l’après Compaoré” avec Bruno Jaffré a permis de faire un point sur la situation au Burkina en cette période de transition qui suit l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre. Ce débat, suivi par une centaine de personnes, a permis de rappeler la campagne menée en France pour obtenir une enquête parlementaire sur l’assassinat de Thomas Sankara.
La soirée s’est poursuivie par un repas africain et un concert avec notamment Paco Koné (voir http://thomassankara.net/?p=777 )et don orchestre
15 février salon anti-colonial Paris
La semaine anticoloniale avait cette année décidé un hommage à Malcolm X et Eloi Machoro, leader du FNLKS (Front national libération kanak socialiste), tué par des tireurs d’élite du GIGN. Un débat a suivi cet hommage sur Franz Fanon et Thomas Sankara, pour présenter la collection du CETIM présentant des textes des leaders africains. A propos de Thomas Sankara, a été évoquée la campagne pour la vérité et la justice.
27 février à Villetaneuse
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La projection du film “Thomas Sankara l’homme intègre” a entrainé un débat riche et passionnant. Le public, une trentaine de personnes était composée, doit de personnes découvrant Thomas Sankara, soit de personnes connaissant bien le sujet et tenant à partager leurs analyses. Stéphanie et Larrisa, deux cibelles (terme qui désigne les femmes membres du balai citoyen) de Paris et Bruno Jaffré ont apporté quelques éclairages sur ce que représente Thomas Sankara aujourd’hui, sa vie ou la situation actuelle au Burkina. Une vingtaine de signatures ont été récoltées au bas de la pétition “Justice pour Sankara justice pour l’Afrique”.
7 mars conférence de presse à Ouagadougou
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De gauche à droite, Alexandre Sankara, député du CNT (UNIR PS), Smockey, Bruno Jaffré, Germaine Pitroipa et le cinaste Balufu Bakupa Kanyinda qui créé avec la Guilde des réalisateurs le prix Thomas Sankara.
Profitant de la présence de nombreux journalistes étrangers à Ouagadougou à l’occasion du FESPACO, le réseau international “Justice pour Sankara justice pour l’Afrique” a organisé, en collaboration avec le balai citoyen et des députés du conseil natonal de la transition (CNT), une conférence de presse sur l’action internationale impulsé par le réseau afin que les ramifications internationales ayant contribué à l’assassinat de Thomas Sankara puissent être mises à jour.
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De nombreux témoignages en effet renforcent l’hypothèse d’un complot international.
Cette conférence a permis aussi d’informer sur une nouvelle initiative en cours. Les députés du CNT ont entrepris, en effet, de signer une lettre à l’assemblée nationale en France afin qu’elle mette à l’ordre du jour la demande d’enquête parlementaire déposées par les députés du Front de Gauche et des Verts (EELV), déjà déposée par deux fois en 2011 et 2013
Ci-dessous une vidéo de l’intégrale de la conférence de presse avec Germaine Pitroipa, Le cinéaste Balufu Bakupa-Kanyinda, le député du conseil national de la transition Alexandre Sankara, Bruno Jaffré et Smockey.
28 mars 2015 Paris.. 30 ans de SURVIE
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La campagne et “Justice pour Sankara justice pour l’Afrique” et l’exigence de justice, la demande d’enquête parlementaire ont été évoquées.
8 mai 2015 Des députés du Conseil National de Transition écrivent à leur collègues français pour demander l’ouverture d’une enquête parlementaire sur l’assassinat de Thomas Sankara
On trouvera les courriers à http://thomassankara.net/?p=1765.
On peut y lire notamment : «au nom de la Coopération entre les peuples et particulièrement ceux de nos deux pays, vous saisir expressément aux fins d’une demande de création au sein du Parlement français d’une commission d’enquête parlementaire sur l’assassinat du président Thomas Sankara» ajoutant plus loin que «la France a pu être citée dans ce crime abominable par plusieurs sources sans qu’elle ait formellement démenti son implication».
Un premier courrier de 12 députés du Burkina avait déjà été envoyé le 26 avril 2011, mais était resté sans réponse. On trouvera ce premier courrier à http://thomassankara.net/?p=1079.
14 mai 2015 Lancement d’une nouvelle pétition sur change.org, adressée aux députés fu parlement français qui demande l’ouverture d’une enquête parlementaire
Lancée par le réseau international «Justice pour Sankara justice pour l’Afrique», l a pétition rebondit sur la lettre des députés burkinabè évoquée ci-dessus, pour mobiliser afin d’interpeller de nouveau les députés français.
La pétition est à http://lc.cx/ZUEX et a recueilli en quelques jours plusieurs milliers de signatures
5 Juin Le président du groupe GDR (Front de gauche) écrit à Claude Bartelone, président de l’Assemblée nationale
extrait : “Le parlement français doit faire le nécessaire, lever le voile, pour construire une nouvelle relation avec le Burkina Faso. Ne pas le faire continuerait de nuire à l’image de la France déjà malmenée dans cette région du monde pour son soutien aux dictatures. Il serait de l’honneur du parlement français de mettre en place, à l’instar du parlement belge qui l’a fait sur l’assassinat de Patrice Lumumba, une commission d’enquête parlementaire. Cette décision soutiendrait le processus de justice transitionnelle, fondée sur la vérité et la reconciliation qui permettent de renforcer la transition démocratique”
Voir le courrier à http://thomassankara.net/?p=1784
Marseille 13 juin 2015 festival Africa fête
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15 juin à Paris, débat organisé par la fondation Gabriel Péri sur le thème “« L’idéal de Thomas Sankara au Burkina Faso, de l’insurrection populaire à l’insurrection électorale “
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Débat organisé par la fondation Gabriel Péri, à l’occasion du séjour de Maitre Bénéwendé Sankara à Paris. Les membres du réseau évoque l’affaire Sankara, la demande d’enquête parlementaire et déploient leur banderole. Maitre Bénéwendé Sankara et Germain Pitroipa, rendent compte de la convention des sankaristes, et répondent aux questions sur la transition et le programme des sankaristes
16 juin Mariam Sankara reçue à l’assemblée nationale en France
Le matin à 10h, Bénéwendé Sankara, président de l’UNIR PS (parti sankariste), avocat de Mariam Sankara, et Germaine Pitroipa ont participé à une conférence de presse devant une vingtaine de journalistes. Puis ils se sont rendus à l’Assemblée nationale vers 13h45.
Les députés André Chassaigne, Président du groupe parlementaire du Front de gauche GDR (gauche démocratique et républicaine), Marc Dolez, du même groupe et Cécile Duflot sont venus accueillir Mariam Sankara, à l’extérieur de l’Assemblée nationale.
Une délégation qui les accompagnait, composée de Germaine Pitroipa représentante de l’UNIR PS en France, de Humanist représentant le balai citoyen en France, de Bruno Jaffré du réseau international “Justice pour Sankara justice pour l’Afrique“, et de Dominique Josse, responsable Afrique du PCF est entrée au sein de l’assemblée nationale pour un séance de travail.
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Mariam Sankara a expliqué son long combat pour obtenir vérité et justice. Elle a remercié les députés pour leur action et renouvelé son souhait que la France se penche sur ce dossier afin de savoir si elle a été impliquée dans l’assassinat de Thomas Sankara.
M. Chassaigne qui a écrit au président de l’assemblée nationale, il y a quelques jours pour demander que l’assemblée se penche sur ce dossier, a promis de questionner de nouveau lors d’une prochaine conférence des présidents. Mme Cécile Duflot a affirmé vouloir aussi s’engager à son tour pour que la France se penche sur son passé
Tous les deux ont exprimé leur intérêt pour la transition actuellement en cours eu Burkina, en espérant qu’elle puisse être menée à bien
Pour plus d’information on se reportera au compte rendu de la rencontre à http://thomassankara.net/?p=1783 et à la revue de presse à http://thomassankara.net/?p=1787.
18 juin Café débat sur la révolution sankariste avec le NPA (Nouveau parti anticapitaliste) Paris 10eme
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24 octobre à Paris
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Fête pour la sortie du journal L’autrement 93, dans lequel est publié un article faisant le point sur la campagne. Plusieurs acteur de la campagne sont présents. Table d’information, signatures de la pétition demandant l’ouverture d’un enquête parlementaire en France (https://www.change.org/p/public-et-d%C3%A9cideurs-parlement…), debat “solidarité avec le jeunesse du BUrkina” avec le Balai Citoyen et l’UGEB.
5 octobre 2015 publication d’un communiqué de presse intitulé “Hollande retire la légion d’honneur à Diendéré ! Ça ne suffit pas !”
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Le communiqué s’indigne contre le fait que le France ait décoré Gilbert Diendéré auteur du putsch de septembre 2015 et rappelle les revendications de la campagne “Justice pour Sankara, justice pour l’Afrique”, ouverture des archives et d’une enquête parlementaire.
Le communiqué est accessible à http://thomassankara.net/?p=1824
29 octobre 2015 Ajaccio
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Le cinéma Ellipse à Ajaccio en partenariat avec Per A Pace et Corsica.doc avait décidé de mettre le Burkina Faso a l’honneur en ce 29 octobre 2015.
70 personnes ont participés à la projection du film de Christophe Cupelin Capitaine Thomas Sankara”.
La campagne du réseau, ” Justice pour Thomas Sankara, Justice pour l’Afrique” a été au centre des discussions et 15 personnes ont à l’issue de cette manifestation apportés leur soutien à la pétition.
Une exposition photo sur l’engagement de Per A Pace au Burkina Faso avait été installée dans le hall du Cinéma.
Toulouse 24 et 25 octobre 2015
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Survie Toulouse a organisé les 23 et 24 octobre 2015 grand WE contre la Françafrique avec un samedi consacré en grande partie au Burkina faso. Tout d’abord à 17h la pièce “Sankara Mitterrand”, par la troupe de l’AGIT, suivi d’un débat sur l’actualité du Burkina Faso un an après la chute de Blaise Compaoré et un mois après le putch raté de Diendéré.
A 21h, conférence gesticulée d’Antoine Souef de la Scop du vent debout “A l’aide! ou comment j’ai arrêté de vouloir aider l’Afrique“, WE réussi avec un public nombreux et chaleureux.
La pétition demandant l’ouverture d’une enquête parlementaire sur l’assassinat de Thomas Sankara a récolté plusieurs dizaines de signatures
Annemasse le 21 novembre 2015
Survie 74 sera et l’Association Étoile Africaine, ont organisé une soirée sur la transition démocratique au Burkina. Après la projection du film «Pieds Nus : La révolution d’octobre au Burkina Faso et sa transition » de Christian Carmosino, une discussion s’est engagée sur les enjeux de la transition.
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Ce débat fut aussi l’occasion d’informer sur le campagne “Justice pour Sankara justice pour l’Afrique” et notamment sur le refus de Claude Bartolone d’ouvrir une enquête parlementaire sur l’assassinat de Thomas Sankara. Plus de 30 signatures ont été récoltés sous la pétition demandant l’ouverture d’une enquête parlementaire (voir
https://www.change.org/p/public-et-d%C3%A9cideurs-parlementaires-ouverture-d-une-enqu%C3%AAte-parlementaire-sur-les-conditions-de-l-assassinat-de-thomas-sankara)
1er décembre France 24
Paris le 2 décembre 2015
A l’issue d’une projection du film “Capitaine Thomas Sankara” à l’espace Saint Michel, devant un salle presque pleine, Bruno Jaffré invité à animer le débat qui a suivi, a informé de la campagne “Justice pour Sankara justice pour l’Afrique” et faire circuler la pétition demandant l’ouverture d’une enquête parlementaire sur l’assassinat de Thomas Sankara. Environ 80 signatures ont ainsi été réunies.
Paris le 7 décembre 2015
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A l’issue d’une projection du film “Capitaine Thomas Sankara” au cinéma La clef, devant un salle presque pleine, Bruno Jaffré invité à animer le débat qui a suivi, a informé de la campagne “Justice pour Sankara justice pour l’Afrique” et faire circuler la pétition demandant l’ouverture d’une enquête parlementaire sur l’assassinat de Thomas Sankara. Environ 100 signatures ont ainsi été réunies.
Saint Ouen (France) le 14 décembre 2015
La soirée, était organisée par l’ambassade du Balai Citoyen France en étroite collaboration avec Baraka, grâce aussi à Commune Image à saluer pour l’accueil de cet événement dans les meilleures conditions.
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Nous avons eu une cinquantaine de participants qui ont bien sûr signé la pétition pour l’ouverture de l’enquête parlementaire voir (https://www.change.org/p/public-et-d%C3%A9cideurs-parlementaires-ouverture-d-une-enqu%C3%AAte-parlementaire-sur-les-conditions-de-l-assassinat-de-thomas-sankara)
Après la projection du film “”Une révolution Africaine, Les dix jours qui ont fait tomber Blaise Compaoré”” du collectif Cinédroit libre TV, un débat s’est tenu avec comme invités sur le plateau Gabriel KAMBOU (Journaliste reporter ayant contribué au film), Humanist (Artiste rappeur et Président de l’ambassade Balai Citoyen France) et Olivier OUEDRAOGO membres du Balai Citoyen.
Gabriel s’est efforcé de relater les moments qu’il a vécu dans le feu de l’action tandis que Humanist a mis en lumière le rôle que les Cibals de la diaspora ont joué lors de l’insurrection populaire.
Les débats se sont portés notamment sur les perspectives de la lutte au Faso et aussi la collaboration et l’accompagnement entre OSC Africaine. Je vous ai rajouté des photos des temps forts de la soirée pour ceux qui n’ont pas pu faire le déplacement.
Tous les participants sont tombés d’accord pour dire que ce film est un CHEF-D’ŒUVRE et ont pu toucher du doigt la réalité du terrain lors de ces moments. Ainsi les organisateurs et participants adresse leurs sincères félicitations à Ciné Droit Libre TV et tous ceux qui de près ou de loin ont participé à l’aboutissement de ce travail.
Commune Image aussi est à saluer pour l’accueil de cet événement dans les meilleures conditions.
Aly Traoré
Membre du Balai Citoyen – Ambassade France